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A Propos

 

Véronique ALMARINE

Dessinatrice

  • Membre du Conseil d'Administration du Salon d'Automne de Paris

  • Co-présidente de la section Dessin du Salon d’Automne de Paris

 

Co-responsable de la section Dessin du Salon d’Automne de Paris,

en binôme avec Antoine Aizier.

Ils y défendent un dessin pur, exigeant, ancré dans une démarche contemporaine et poétique.​

BIOGRAPHIE

Véronique Almarine est une artiste française installée en Touraine.

 

Elle explore divers médiums avant de trouver dans l’encre de Chine son langage de prédilection, lui permettant d’unir précision technique et expression contemplative.

 

Son travail à l’encre de Chine explore la part sacrée du vivant à travers des paysages imaginaires, sensibles et silencieux.

Chaque œuvre est le fruit d’un processus à la lenteur assumée, construit de touches et de traits minuscules, de contrastes profonds, d’oppositions douces ou puissantes. 

Inspirée par une nature riche de ses imperfections et de son impermanence, sa pratique valorise la beauté et la fragilité de l’éphémère, nous invitant à ralentir et à contempler, dans l’instant offert.

 

Affirmant son engagement au sein de la scène artistique contemporaine, elle est membre du Conseil d’Administration du Salon d’Automne de Paris dont elle est co-présidente de la section Dessin, depuis 2025.

Elle expose régulièrement en France et à l’international.

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​PORTFOLIO

DEMARCHE ARTISTIQUE

« La vérité découle de l’observation de la nature. »

 

Cette conviction guide le travail de Véronique Almarine. Curieuse et exigeante, elle développe une œuvre profondément personnelle, entre poésie visuelle et philosophie de vie. Son art naît d’un lien intime avec le vivant, non pas dans une représentation fidèle, mais dans l’expression de ce mystère et de cette part sacrée qui trouvent une résonance en chacun de nous.

Formée au dessin depuis l’enfance, Véronique explore depuis plusieurs années les possibilités expressives de l’encre de Chine sur papier coton, une technique qu’elle considère comme exigeante et généreuse à la fois. Elle privilégie des matériaux simples, naturels, durables, en cohérence avec les valeurs qu’elle défend.

Chaque œuvre naît lentement, dans un processus méditatif qui peut durer plusieurs mois.

 

« Plus le trait est petit, plus l’effet sera puissant et profond. »

 

Les traits minuscules, multiples et faussement aléatoires s’accumulent pour faire émerger un paysage naturel, où la lumière s’oppose à l’ombre, le détail à l’ensemble, sans autres couleurs que le noir de l’encre, le blanc du papier et leurs variations de gris. 

Plutôt que de démontrer ou raconter, elle cherche à faire ressentir. Elle compose des scènes imaginaires empreintes de réalisme, où l’émotion surgit des détails : un rocher aux contours doux, une ligne de crête tremblante, une forêt surgissant de la brume… 

Ces mondes silencieux sollicitent l’attention sensorielle du spectateur, sa capacité à ralentir, à s’arrêter pour écouter. 

Sa recherche esthétique s’inspire des principes proches du Wabi-Sabi japonais — l’imperfection, l’impermanence, l’incomplétude — mais aussi d’une philosophie écologique profonde : rappeler que ce qui est le plus précieux est souvent discret, éphémère et vulnérable.

 

« Puisque tout passe, arrêtons-nous un instant.» 

 

Dans un monde saturé d’images rapides, Véronique revendique le temps long : celui de la création, comme celui de la contemplation. Son œuvre invite à regarder autrement, à ressentir autrement — avec sincérité, apaisement et humilité.

Ses paysages sont autant d’espaces-refuges. Des interstices poétiques entre le réel et l’imaginaire. 

Des tentatives de saisir l’instant tel qu’il nous est offert, avant qu’il ne s’efface.

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