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A Propos

BIOGRAPHIE

« La vérité découle de l’observation de la nature. Encouragée par une compréhension intuitive du monde, d’une nature en état constant, perpétuel, de devenir et de désagrégation, je compose des œuvres uniques et variables, captures d’un présent fragile et éphémère : des scènes imaginaires empreintes de réalisme. Mettre l’accent sur le discret ou le caché, l’indécis et l’intime, est pour moi directement corrélé à l’idée que la grandeur de toute chose réside davantage dans ses détails que dans sa globalité. J’essaie d’exprimer un type particulier de beauté naturelle, sans sophistication, composée  d’incomplétude, d’impermanence et d’imperfection. »

 

Ayant grandi dans une famille où l’art est omniprésent, Véronique Almarine a toujours peint et dessiné. 

Ancienne avocate au Barreau de Paris, elle s’installe en Touraine, pour une vie moins urbaine et plus sereine. Dans la pleine logique de cette démarche, elle décide petit à petit, de faire de sa passion, son activité principale.

 

Animée par une expression artistique pleine d’enthousiasme et de curiosité, elle a varié les médias, les techniques, les supports : de la bande dessinée aux illustrations enfantines, de natures mortes hyperréalistes à l’aquarelle, au pastel ou à l’huile, aux paysages achromatiques à l’encre de Chine, aujourd’hui.

L’artiste privilégie et revendique « le temps long » de création, un concept à contre-courant du rythme effréné de notre style de vie et de production actuels. Chaque œuvre nécessite deux mois de travail.

 

« Sollicitant l’exploration sensorielle, je choisis des lignes et des bords doux, des oppositions et forts contrastes, où la lumière joue un rôle essentiel et constant d’amplificateur d’émotions.»

Véronique Almarine opte pour l’emploi exclusif de matériaux naturels, l’encre de Chine et le coton pur d’un papier dense, pour renforcer la perception visuelle, immersive et tactile, des paysages naturalistes qu’elle imagine. 

 

Les touches précises, multiples et faussement aléatoires nous évoque la magie d’un pointillisme où la théorie de juxtaposition des couleurs a cédé la place à celle du contraste par le trait ou l’aplat d’encre noire, opposé uniquement au blanc du papier, sans autre rajout de peinture. 

« Plus le trait est petit, plus l’effet sera puissant et profond.

Les accents mouvants, sombres et terreux de l’encre de Chine, m’aident à traduire avec humilité, une nature imprévisible et indomptable. C’est un médium fascinant, à l’empreinte permanente et cependant très modulable et généreux, si l’on sait l’accompagner et l’écouter. A l’image de l’attention et du respect que nous devrions obstinément offrir à notre planète, afin qu’elle puisse nous accueillir avec une générosité durable. »

 

Un message et une préoccupation au cœur de la démarche artistique de Véronique Almarine qui espère, à travers ses paysages sensibles et éphémères, alerter de l’urgence de la conservation de notre patrimoine premier et essentiel

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